Sous la présidence du Ministre d’État, Ministre du Plan et de la Coordination de l’Aide au Développement (CAD), Guylain Nyembo, s’est tenue la 135ᵉ réunion du Comité Exécutif de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE-RDC).
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du suivi de la mise en œuvre du processus ITIE en République Démocratique du Congo, un instrument clé pour garantir la bonne gouvernance et la transparence dans la gestion des ressources naturelles du pays.
Assurer une gouvernance transparente du secteur extractif
L’objectif principal de cette session était d’évaluer les progrès réalisés dans l’application des exigences de la norme ITIE et de renforcer la coordination entre les différentes parties prenantes, gouvernement, entreprises minières, société civile et partenaires techniques.
Les échanges ont porté sur les activités menées depuis la précédente réunion, l’élaboration des outils nécessaires à la mise en œuvre du processus, ainsi que la préparation de la validation internationale de l’ITIE-RDC, prévue pour début 2026.
Une dynamique positive vers la validation 2026

Le Ministre d’État Guylain Nyembo s’est montré optimiste quant à l’avancement du processus :
« Le processus ITIE-RDC avance bien. Nous sommes dans les délais et, si tout se déroule comme prévu, d’ici la fin du mois de novembre, nous aurons tout en ordre pour préparer calmement la validation du processus », a-t-il déclaré.
Une étape cruciale pour la crédibilité du pays
La réussite de cette validation constituera une étape déterminante pour la crédibilité de la RDC sur la scène internationale, en matière de gestion transparente et responsable de ses ressources minières.
Elle permettra également d’attirer davantage d’investissements responsables, tout en garantissant une meilleure redevabilité dans l’exploitation des richesses nationales.
Cette 135ᵉ réunion du Comité Exécutif de l’ITIE-RDC marque ainsi un pas supplémentaire vers la consolidation de la transparence, de la confiance et du développement durable dans le secteur extractif congolais.
Lydia Mangala


