Ce samedi 1er mars 2025, Chantal Chambu Mwavita, Ministre des Droits Humains, a partagé l’instant sacré d’un culte œcuménique aux côtés de la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka et de plusieurs leaders religieux sur l’esplanade du Palais du Peuple.
Cette cérémonie, bien plus qu’un simple rassemblement, s’est imposée comme un acte de foi collective en faveur de la paix, de l’unité nationale et de la justice.
D’une intensité rare, le culte a rassemblé des fidèles de diverses confessions, transcendant les clivages religieux pour unir les cœurs autour d’une prière commune. Dans une ambiance de recueillement profond, les participants ont exprimé leur désir ardent de voir se réaliser une harmonie au sein d’une nation éprouvée par de multiples défis.
Ce moment de communion spirituelle s’inscrit dans une dynamique de résistance face aux tensions qui secouent le pays, notamment face à l’agression rwandaise qui alimente les inquiétudes de la population.
En se réunissant ainsi, les responsables de l’État et les représentants des différentes communautés de foi ont démontré leur engagement à promouvoir une vision de solidarité et de justice.
La présence solennelle de la ministre de droits humains, Chantal Chambu, et de la Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka, symbolise une volonté politique d’embrasser une approche inclusive, où le dialogue et la prière se conjuguent pour répondre aux défis contemporains.
Ce rassemblement témoigne d’un effort commun pour insuffler un renouveau spirituel et social, en affirmant que la quête de la paix et de l’unité demeure un impératif pour surmonter les épreuves.
Dans ce contexte, la prière collective est apparue comme un acte de résistance face aux turbulences géopolitiques et aux menaces extérieures.
En intercédant pour la paix, les dirigeants et les fidèles ont réaffirmé leur confiance en un avenir où la justice prévaudra, où la solidarité se substituera aux divisions, et où les aspirations de la nation trouveront écho dans l’engagement commun de ses citoyens.
Ce moment de recueillement, sincère et porteur d’espoir, marque un tournant symbolique dans la manière dont le pays envisage la réconciliation et la reconstruction de son tissu social.
Lydia Mangala


