Dans un monde où la critique prend souvent le pas sur l’action, Djessy Bukasa incarne une génération de communicants engagés, portés par la conviction que chaque défi recèle une opportunité de transformation.
Secrétaire Général et Membre active de l’Association des Professionnels de la Communication et du Marketing (AsProCom), il fait partie de ceux qui préfèrent bâtir plutôt que blâmer.
« Je fais partie de ceux qui refusent d’attendre que les autres fassent pour critiquer. Je crois profondément que chaque problème qui nous entoure porte en lui une occasion de devenir utile, de faire partie de la solution plutôt que du chœur des reproches », confie-t-il avec passion.

Pour Djessy Bukasa, la communication dépasse le cadre d’un simple métier. Il la conçoit comme une vocation, un levier de changement social et un acte patriotique. Par la parole, l’image et les messages qu’elle façonne, la jeune professionnelle œuvre à construire un récit collectif plus juste et plus inspirant sur la République démocratique du Congo.
« La communication, pour moi, n’est pas seulement un métier. C’est une passion, un engagement, presque une mission de vie. Parce qu’à travers elle, nous avons le pouvoir de raconter notre histoire la vraie, celle qui élève, rassemble et inspire. »

Cette philosophie trouve tout son sens au sein de l’AsProCom, une plateforme qui réunit les acteurs de la communication et du marketing autour d’un même idéal : professionnaliser le secteur, valoriser les talents locaux et redonner à la communication congolaise toute sa puissance stratégique et narrative.
Djessy Bukasa en est convaincu : un pays qui maîtrise son discours, qui sait se raconter avec authenticité et fierté, pose déjà les fondations de son développement.

« Je crois qu’un pays qui sait bien se raconter commence déjà à se construire. Et je suis honoré d’être parmi ceux qui ont décidé de réécrire l’histoire. »

Signalons par ses mots et ses actions, Djessy Bukasa rappelle que la communication n’est pas seulement un outil, mais une arme de construction massive, celle d’une République démocratique du Congo qui assume et célèbre enfin sa propre voix.
Joséphine Mawete


