L’Ambassadeur Claude Mbuyi, président du Conseil National de la Jeunesse (CNJ-RDC), a conduit une délégation de son bureau auprès de Bob Amiso, Ministre provincial de Kinshasa en charge de la Jeunesse, des Sports, des Loisirs, de la Culture et des Arts.
La rencontre, tenue dans le cabinet du Ministre, a porté sur des sujets essentiels liés à l’épanouissement, à l’encadrement et à la valorisation des initiatives de la jeunesse kinoise.
Un plaidoyer pour renforcer la capacité d’action du CPJ-Kinshasa
Au cours des échanges, l’Ambassadeur Claude Mbuyi a salué les efforts consentis par le Gouvernement provincial en faveur de la jeunesse, tout en plaidant pour un appui concret au Conseil Provincial de la Jeunesse (CPJ-Kinshasa).
Il a notamment sollicité la mise à disposition d’un bureau de travail pour le CPJ-Kinshasa, des frais de fonctionnement réguliers pour assurer la continuité des activités ainsi que l’amélioration des infrastructures des différents Conseils Communaux de la Jeunesse (CCJ) à travers la capitale.
Le président du CNJ-RDC a souligné que les jeunes ont besoin d’espaces fonctionnels et de moyens adéquats pour s’exprimer, se former et contribuer activement au développement local.
Le Ministre Bob Amiso encourage et promet des actions concrètes
En réponse, le Ministre Bob Amiso a salué la démarche du CNJ-RDC et félicité la nouvelle équipe dirigeante du Conseil National de la Jeunesse, qu’il a décrite comme dynamique, proactive et engagée sur le terrain.
Il a annoncé sa volonté de renforcer la collaboration entre le Ministère provincial et les structures de jeunesse.
Le Ministre a également promis de recevoir prochainement la délégation du CPJ-Kinshasa pour approfondir la discussion et d’entreprendre une tournée dans les communes afin de rencontrer personnellement les Conseils Communaux de la Jeunesse (CCJ).
Puisque le développement commence à la base, impliquer les CPJ et les CCJ dans la gouvernance locale produirait de bons résultats.
Le CNJ-RDC entend poursuivre ses actions de plaidoyer afin de garantir un meilleur encadrement des jeunes et une véritable politique d’inclusion dans le développement de la capitale congolaise.
Lydia Mangala