Kinshasa, octobre 2025, sous le thème évocateur « Cheveux libres, esprits », la capitale congolaise a vibré au rythme d’un événement inspirant dédié à la valorisation de la beauté afro et à la promotion de la confiance en soi des femmes africaines. Ce rendez-vous inédit, porté par Kommuniq.agency et Welcomm.Congo, a réuni autour d’une même vision des femmes influentes, entrepreneures et créatrices de valeur, dans une ambiance d’échange, d’inspiration et de fierté identitaire.
La modération de ces discussions enrichissantes a été assurée par Priscillia Kabasele, communicatrice et entrepreneure, qui s’est dite honorée d’avoir dirigé des échanges “inspirants et sincères” avec Mme Fanny Mwamba et Anastasia Kayiba, deux voix fortes de l’afroféminisme et du leadership au féminin.
« Cet événement a célébré la beauté afro comme symbole de confiance, de culture et comme levier puissant d’empowerment », a déclaré Priscillia Kabasele, saluant un espace de parole authentique et bienveillant autour des thématiques d’estime de soi, d’identité et d’entrepreneuriat féminin.
Une célébration de l’authenticité et de la créativité congolaise
Au-delà des échanges, « Cheveux libres, esprits » a également mis à l’honneur les initiatives locales qui valorisent le savoir-faire congolais.
Priscillia Kabasele a adressé ses félicitations à Dimer Afro Beauty, une marque 100 % made in DRC, pour le lancement officiel de sa nouvelle gamme capillaire dédiée à la femme africaine.
« Félicitations à Dimer Afro Beauty pour le lancement de sa gamme capillaire 100 % congolaise, que je recommande vivement », a-t-elle ajouté, soulignant la fierté de voir émerger des marques locales qui allient authenticité, innovation et identité.
Un concept afrocentrique porteur de sens
Conçu par Barbara et Jessica, le concept « Cheveux libres, esprits » se veut une plateforme d’expression et de réflexion sur la place de la beauté noire dans les sociétés contemporaines. En célébrant le cheveu afro dans sa naturalité, l’événement encourage une reconnexion à soi-même, tout en combattant les stéréotypes qui pèsent encore sur les standards esthétiques.
Cette initiative s’inscrit dans une dynamique plus large d’affirmation culturelle et de valorisation de la femme congolaise, à travers une esthétique assumée, une voix portée et une créativité libérée.
« Cheveux libres, esprits » n’était donc pas qu’un simple événement beauté, mais un acte de célébration identitaire et d’autonomisation. Un manifeste vibrant qui rappelle que dans chaque boucle, chaque texture et chaque tresse, se cache une histoire de résilience, de liberté et de fierté.
Joséphine Mawete