Le parti politique Agissons pour la République (AREP) a commémoré, ce samedi 11 octobre, son troisième anniversaire d’existence par une messe d’action de grâce célébrée à la Cathédrale Notre-Dame du Congo, au cœur de la capitale.
Présidée par le clergé catholique, cette cérémonie a réuni cadres, militants et sympathisants d’AREP autour du Ministre d’État, Ministre des Relations avec le Parlement et Autorité morale du parti, Maître Guy Loando Mboyo, venu exprimer sa gratitude à Dieu pour le parcours accompli depuis la création de cette formation politique.
Un moment de recueillement et de reconnaissance
L’eucharistie, placée sous le signe de la reconnaissance et de la cohésion, a permis à l’ensemble des participants de rendre grâce pour les progrès réalisés par AREP sur la scène politique congolaise.
La cérémonie a également été marquée par un hommage émouvant rendu au camarade Chris Lipuku, militant disparu, salué pour sa fidélité, son engagement et son esprit de service au sein du parti.
Foi, unité et vision commune

Dans une atmosphère empreinte de recueillement, les membres d’AREP ont réaffirmé leur attachement aux valeurs fondatrices du mouvement : service à la Nation, solidarité et développement collectif.
Pour le Ministre d’État Guy Loando Mboyo, cette célébration symbolise non seulement la maturité politique du parti, mais aussi la profondeur spirituelle qui anime son action au service du peuple congolais.
« Trois ans après sa création, AREP continue d’incarner une vision de transformation fondée sur la foi, la rigueur et le travail collectif », a-t-il souligné en marge de la célébration.
Une étape significative dans la consolidation du mouvement
Le troisième anniversaire d’AREP marque une étape importante dans la structuration du parti, désormais reconnu pour son engagement citoyen et sa contribution à la consolidation de la démocratie en République démocratique du Congo.
Cette messe d’action de grâce s’inscrit ainsi dans la continuité d’un parcours politique fait de progrès constants, de convictions fortes et d’ouverture au dialogue national.
Joséphine Mawete


