C’est une nouveauté majeure qui vient secouer la course à la qualification pour la Coupe du Monde de la FIFA 2026 en zone Afrique. La Confédération Africaine de Football (CAF) et la FIFA ont officiellement confirmé l’utilisation de l’Assistance Vidéo à l’Arbitrage (VAR) pour les barrages africains.
Ceci marque un tournant significatif, car cette technologie n’avait pas été appliquée durant l’intégralité de la phase des qualifications précédentes. C’est donc sous le regard attentif de la vidéo que les quatre nations encore en lice joueront leur avenir mondialiste.
Les deux confrontations, qui détermineront les derniers représentants du continent au tournoi planétaire, verront s’affronter en premier lieu le Gabon face au Nigeria, le 13 novembre 2025, à Rabat à 17heures. Puis, dans la soirée, les Léopards de la République Démocratique du Congo défieront les Lions Indomptables du Cameroun, à 20 heures.
Ces matchs à enjeu direct sont par nature des rencontres où chaque décision arbitrale peut faire basculer le résultat, créant tension et polémiques. L’introduction de la VAR vise précisément à minimiser les erreurs flagrantes et à garantir un maximum d’équité sur le terrain.
Sans doute, l’arrivée de la VAR est unanimement saluée comme une avancée essentielle pour le football africain. Elle symbolise une volonté des instances de se conformer aux standards internationaux et de mettre les équipes dans les meilleures conditions de compétition.
Toutefois, si l’outil est censé apporter plus de justice, son utilisation pourrait également créer de nouveaux débats ou ralentissements du jeu. Un point souvent critiqué par les puristes. Sans doute , la rapidité et la bonne interprétation des arbitres de la salle de contrôle seront scrutées avec attention.
L’heure est désormais à l’attente. Avec la VAR, les barrages promettent d’être plus justes, plus intenses, et potentiellement plus polémiques que jamais.
Josaphat M


